dimanche 13 mars 2011

P.M.É VICTIME DU TSUNAMI AU JAPON

Nous tenons à exprimer nos condoléances aux confrères de la Société des Missions Étrangères ainsi qu'à la famille du P.André Lachapelle. Nous prions pour le repos de son âme. En solidarité par la prière et la pensée.



•André Lachapelle p.m.é.

Il était missionnaire au Japon depuis 1961.



P.m.é. victime du tsunami

Nous venons d'apprendre par le Ministère des Affaires Étrangères que notre confrère André Lachapelle a été victime du tsunami en retournant chez lui à Shiogama. Il était à Sendai lors du tremblement de terre. Puis, il a quitté Sendai et c'est sur la route près de Shiogama que le Seigneur est venu le chercher. La nouvelle fut confirmée par Charles-Aimé Bolduc.



Né à St-Jacques (Montcalm), dans le diocèse de Joliette, le 1er juin 1934, André était âgé de 76 ans et 9 mois lors de son décès. Il était missionnaire au Japon depuis 1961.



Les détails concernant ses funérailles vous seront transmis ultérieurement. Union de prières pour le repos de son âme et les nombreuses victimes du tremblement de terre d'hier ainsi que pour la famille d'André.



Gilles Dubé, p.mé.

Secrétaire général





« Mon confrère, André Lachapelle, était en ville, à Sendai, lorsque s'est produit le tremblement de terre qui vient de secouer le Japon et dont l'épicentre se trouvait dans la mer, non loin de cette ville.



Sorti indemne de cette première secousse, il s'est empressé de sauter dans sa voiture pour retourner chez lui, à une demi-heure de là.



André désirait sans doute rejoindre au plus tôt les gens de sa paroisse pour les accompagner en ce moment d'épreuve. Mais une demi-heure, c'est justement le temps qu'a pris la vague du tsunami pour déferler sur la côte après la secousse sismique. Le tsunami l'aurait rattrapé en chemin. Son corps a été retrouvé par la police qui s'est mise en comunication avec l'ambassade du Canada à Tokyo, et c'est par celle-ci que la nouvelle nous est parvenue.



Le supérieur général des Missions-Étrangères a réussi avec peine à téléphoner à un autre confrère resté sur place, à Sendai, et qui était avec André au moment du séisme.



C'est par cette communication, qui s'est vite coupée, que ce confrère a appris ce qui était arrivé à André. Il avait été le dernier à le voir et il le croyait en sécurité comme lui. »



Eloy Roy p.m.é.

Tiré du site des P.M.É:

http://www.smelaval.org/fr/pays/japon/pme-victime-du-tsunami

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